6 janvier 2005
Départ à 7h45 pour le Vietnam. Nous voyageons 3 heures en autobus jusqu’à Neakluong au Cambodge. De là, nous prenons un speedboat (vieux rafiot avec plancher tout défoncé) jusqu’à la frontière vietnamienne. Ce trajet dura un autre 3 heures. Après avoir franchi les étapes de la sécurité et d’immigration, nous prenons un petit bateau où nous étions seulement 4 passagers, nous deux, un australien étudiant en médecine et une zélandaise étudiante en anthropologie. Encore une fois ce trajet sur la rivière Makong dura 3 heures vers Chau Doc ville frontalière vietnamienne. Après 9 heures, nous arrivons enfin à notre guesthouse dont le prix était inclus dans notre billet de 20$ de transport de Phnom Penh vers Saïgon. Nous avons dormi sous un filet pour se prévenir de la malaria. Le soir nous sommes allés manger à l’Hôtel Victoria et nous avons fait le trajet d’aller retour en moto taxi. Yves n’était pas encore habitué aux billets vietnamiens, il a été d’une grande largesse avec son chauffeur alors que le conducteur de Colette voulait le même pourboire.
7 janvier 2005
Départ à 6h45 en tuk tuk jusqu’au bureau touristique. De là, nous marchons à pied jusqu’au bateau où nous visitons une pisciculture moyenne qui élève 80,000 poissons. Çà prends 6 mois aux poissons pour atteindre leur poids de vente de 1 kilogramme avant qu’ils soient exportés vers le Japon et l’Australie. On les nourrit avec de la nourriture composée à 70% de restant de poissons et 30% de poudre de riz. Par la suite, nous avons visité les tribus des Champs originaire de la Malaisie. De confession musulmane, ils sont principalement des pêcheurs, artisans et cultivateurs. Cette minorité peu intégrée, ne respecte pas les règles en matière de contrôle des naissances, soit de 2 enfants par famille.
Au cours de cette randonnée, nous avons rencontré une Anglaise d’une soixantaine d’années qui démontrait un courage exemplaire. Privée de ses membres inférieures, avec ses orthèses et béquilles elle participa à toutes les activités que cela soit en bateau, à pied et en autobus. À quelques occasions le guide a dû la transporter sur ses épaules pour lui permettre d’accéder à la pirogue. Son mari l’accompagnait et elle n’était pas une charge pour lui. Quelques semaines plus tard nous les avons rencontrés à nouveau au Café des Amis à Nah Trang. Elle nous a raconté qu’au cours d’une visite dans une tribu elle avait effrayée des enfants avec ses béquilles. Elle en était peinée, elle qui aimait bien les enfants.
Par la suite, nous reprîmes l’autobus pour se diriger vers Ho Chi Minh Ville (Saïgon). Chemin faisant nous avons visité un marché où l’on vendait de la viande de serpents et de tortues, une fabrique d’encens. Dîné à Cantho, nous sommes arrivés à notre hôtel à 18h00. Après un souper, une visite au café internet et 11h15 de voyage nous ne nous sommes pas fait prier pour dormir.
Départ à 7h45 pour le Vietnam. Nous voyageons 3 heures en autobus jusqu’à Neakluong au Cambodge. De là, nous prenons un speedboat (vieux rafiot avec plancher tout défoncé) jusqu’à la frontière vietnamienne. Ce trajet dura un autre 3 heures. Après avoir franchi les étapes de la sécurité et d’immigration, nous prenons un petit bateau où nous étions seulement 4 passagers, nous deux, un australien étudiant en médecine et une zélandaise étudiante en anthropologie. Encore une fois ce trajet sur la rivière Makong dura 3 heures vers Chau Doc ville frontalière vietnamienne. Après 9 heures, nous arrivons enfin à notre guesthouse dont le prix était inclus dans notre billet de 20$ de transport de Phnom Penh vers Saïgon. Nous avons dormi sous un filet pour se prévenir de la malaria. Le soir nous sommes allés manger à l’Hôtel Victoria et nous avons fait le trajet d’aller retour en moto taxi. Yves n’était pas encore habitué aux billets vietnamiens, il a été d’une grande largesse avec son chauffeur alors que le conducteur de Colette voulait le même pourboire.
7 janvier 2005
Départ à 6h45 en tuk tuk jusqu’au bureau touristique. De là, nous marchons à pied jusqu’au bateau où nous visitons une pisciculture moyenne qui élève 80,000 poissons. Çà prends 6 mois aux poissons pour atteindre leur poids de vente de 1 kilogramme avant qu’ils soient exportés vers le Japon et l’Australie. On les nourrit avec de la nourriture composée à 70% de restant de poissons et 30% de poudre de riz. Par la suite, nous avons visité les tribus des Champs originaire de la Malaisie. De confession musulmane, ils sont principalement des pêcheurs, artisans et cultivateurs. Cette minorité peu intégrée, ne respecte pas les règles en matière de contrôle des naissances, soit de 2 enfants par famille.
Au cours de cette randonnée, nous avons rencontré une Anglaise d’une soixantaine d’années qui démontrait un courage exemplaire. Privée de ses membres inférieures, avec ses orthèses et béquilles elle participa à toutes les activités que cela soit en bateau, à pied et en autobus. À quelques occasions le guide a dû la transporter sur ses épaules pour lui permettre d’accéder à la pirogue. Son mari l’accompagnait et elle n’était pas une charge pour lui. Quelques semaines plus tard nous les avons rencontrés à nouveau au Café des Amis à Nah Trang. Elle nous a raconté qu’au cours d’une visite dans une tribu elle avait effrayée des enfants avec ses béquilles. Elle en était peinée, elle qui aimait bien les enfants.
Par la suite, nous reprîmes l’autobus pour se diriger vers Ho Chi Minh Ville (Saïgon). Chemin faisant nous avons visité un marché où l’on vendait de la viande de serpents et de tortues, une fabrique d’encens. Dîné à Cantho, nous sommes arrivés à notre hôtel à 18h00. Après un souper, une visite au café internet et 11h15 de voyage nous ne nous sommes pas fait prier pour dormir.
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